Petite retrospective : First day
Depart From POITIERS PLAGE. Je laisse la gérance de *Chez Zowë // Hotel California* à Maitre Mab, qui récupère les clefs. Fo/véa n'est même pas arrivé. Tant pis. J'embarque mon linge même pas sec, mon sac dont les jointures craquent dangereusement, et vamos, on the road à la recherche d'Edith. - Trouvée après moult tours et détours et coup de fils, aaaaaahhh! -
Dank u à taxi Romain qui nous a gentiment emmené jusqu'à l'aéroport de Limoges par une route à consonnances normando-irlandaises : moutons tout partout et une foutue pluie. Sur place, un début de panique à l'embarquement. Edith qui se remet doucement de sa cuite de la veille: *Faut que j'appelle EDF! La CAF! SFR! Mon billet d'avion, je l'ai pas! Mon chèque de caution...!* Pas vraiment la cata (téléphone express, te voilà), un peu de stress quand même.
On est autorisé à mettre en soute un bagage de 15kg. La pesée s'avère pas mal non plus. Je passe joyeusement avec 12.3kg (pourtant ça avait l'air vachement plus lourd...), Edith arrive à soudoyer l'hotesse malgré 15.9kg (20€ le kg en trop, ça fait mal).
On embarque dans la tempète dans un avion où il vaut mieux n'être ni trop grand, ni trop gros, ni claustro, j'arrive à m'encastrer dans mon fauteuil, en sougeant au mec gigantesque de tout à lheure...
On traverse une couche de nuages pendant une eternité sans trop de turbulences, avant d'emerger sur une mer de cotonnuages à tendance zen. Edith entre en etat de méditation trancendançale en se perdant dans le champ de chantilly qui se déroule, je tente de récupérer un peu de ma nuit.
On atterri deux heures plus tard à l'aéroport John Lennon de Liverpool, où, étrangement, il pleut -moins- qu'à Limoges. On fini par trouver Ian, qui nous conduit jusqu'à Bath Road Hostel.
On rencontre Vincent et Elie (from GEII) en cour de route.
On découvre nos chambres, qui sont pas mal, et on déballe nos affaires. Rencontre ensuite avec Benjamin, from RT.Vu que personne n'a rien à manger, on sort en quète de nourriture. Il pleut toujours. Après avoir méchament hésité entre la pizza, les sandwiches, paninis, voire le chinois, on entre dans un restaurant italien. Le premier contact avec la nourriture locale est... piquant. Aucun de ceux qui auront pris le plat de pates le moins cher ne s'en sortirons avec toutes leurs papilles.
On terminera au Green Bowling, un petit pub sympas et confortable, a essayer plein de bières. C'était plutôt un bon début. (==>> Edith et Vincent)